Le coup de griffe: les incroyables réseaux des opérateurs
On le sait, téléphoner avec un cellulaire en Suisse n'est pas toujours bon marché et on s'attend tout de même à un certain niveau de qualité, surtout de la part de Swisscom, notre opérateur historique, qui propose il est vrai plutôt un bon réseau. Mais voilà, on est de plus en plus connecté et donc de plus en plus pénible...
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Un chalet coupé du monde. Ou presque...
C'est donc un peu agacé que j'ai à nouveau constaté en cette fin de semaine qu'à quelques encablures de Lausanne, au Chalet des enfants, il n'était parfois pas possible de téléphoner, et cela même si une puissante Skoda estampillée Swisscom était garée sur le parking de l'établissement. Espérons que ça donne des idées.
A la place des opérateurs suisses, quatre barrettes de SFR. Et je pense que le problème est véritablement là. Si un de mes contacts avait tenté de me joindre ma facture aurait explosé de près de dix francs supplémentaires puisque mon option de roaming se serait activée bien que je n'aie jamais quitté la Suisse!
Pas nouveau
Si je me permets de donner ce coup de griffe à l'opérateur historique, c'est que le problème n'est pas nouveau. Ca fait des années que la couverture GSM est catastrophique du côté des bois du Jorat (Je sais la zone est difficile à couvrir). Mais avec ces nouvelles options introduites par Swisscom, la balle est dans son camp...
Espérons donc que notre opérateur à plus de 50% en mains de la Confédération se soucie de la couverture de cette zone très fréquentée des Lausannois en fin de semaine. C'est peut-être pas le coin le plus rentable, mais lorsqu'on sait les efforts déployés par le géant bleu pour couvrir certaines vallées reculées...
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Un chalet coupé du monde. Ou presque...
C'est donc un peu agacé que j'ai à nouveau constaté en cette fin de semaine qu'à quelques encablures de Lausanne, au Chalet des enfants, il n'était parfois pas possible de téléphoner, et cela même si une puissante Skoda estampillée Swisscom était garée sur le parking de l'établissement. Espérons que ça donne des idées.
A la place des opérateurs suisses, quatre barrettes de SFR. Et je pense que le problème est véritablement là. Si un de mes contacts avait tenté de me joindre ma facture aurait explosé de près de dix francs supplémentaires puisque mon option de roaming se serait activée bien que je n'aie jamais quitté la Suisse!
Pas nouveau
Si je me permets de donner ce coup de griffe à l'opérateur historique, c'est que le problème n'est pas nouveau. Ca fait des années que la couverture GSM est catastrophique du côté des bois du Jorat (Je sais la zone est difficile à couvrir). Mais avec ces nouvelles options introduites par Swisscom, la balle est dans son camp...
Espérons donc que notre opérateur à plus de 50% en mains de la Confédération se soucie de la couverture de cette zone très fréquentée des Lausannois en fin de semaine. C'est peut-être pas le coin le plus rentable, mais lorsqu'on sait les efforts déployés par le géant bleu pour couvrir certaines vallées reculées...
Le jeu de la semaine : "Deus Ex – Human Revolution"
C’est la rentrée. Fini les petits jeux vite fait sur le gaz. Place au lourd. Sur Xbox 360, PS3 et PC, c’est à Deux Ex – Human Revolution que revient le redoutable privilège d’ouvrir la saison ludique 2011-2012.
Cette grosse production place son action en 2027. Les progrès technologiques commencent à faire de l’homme augmenté une réalité. Le monde est devenu sinistre. Le pouvoir appartient aux grosses corporations. Adam Jansen, le genre gros bras ténébreux, est l’employé de l’une d’entre-elle. Lorsque l’alerte est donnée dans un des laboratoires du gratte-ciel, l’ex flic est envoyé voir ce qui en retourne. Il tombe sur de redoutables terroristes qui le laissent pour mort. A son réveil, le voilà greffé de toute part, implanté jusqu’à la moelle, bien plus fort et plus efficace que nous, simple poupées de chair et de sang. Son enquête peut vraiment commencer.
Le premier jeu du nom (2000) est devenu culte. C’était l’époque ou il fallait encore jouer sur PC-Windows pour être l’homme du prochain millénaire. Les fans sont tombés à bras raccourci sur sa suite, Deus Ex- Invisible War (2004) plutôt centré sur les consoles, qui a eu l’outrecuidance de vouloir élargir son public et de simplifier à outrance le gameplay. Conçu par le studio Eidos Montréal et édité par Square Enix, ce troisième opus est à la fois un reboot et une préquelle. Préquelle parce que l’action se situe avant le jeu séminal. Reboot parce qu’il s’agit de faire oublier sa suite honnie.
Les efforts de l’équipe canadienne n’ont pas été vains. Cet épisode est largement supérieur au deuxième opus. Essentiellement en donnant un peu mieux le sentiment que le joueur a une liberté de choix, ce qui reste à la fois une illusion et la plus grosse tarte à la crème des divertissements interactifs. Et par rapport au premier ? Joker, trop d’années séparent les deux ouvrages. Le temps fait distorsion.
Deux Ex – Human Revolution, c’est donc un jeu d’action tantôt facile ou difficile, tantôt brutal ou furtif selon les améliorations choisies pour augmenter les capacités de notre avatar. Deus Ex n’est cependant pas un beau jeu. Par beau, comprendre inspiré graphiquement. Je reste circonspect devant ces constantes nuances de jaune-orange crépusculaire qui imprègnent les graphismes. Et puis il y a un côté Blade Runner du pauvre dans ce monde cyberpunk peuplé de marionnettes encore bien trop raides pour emporter mon adhésion.
Cela dit un jeu qui tisse un lien, même ténu, entre les apprentis sorciers du futur et nos Google, Facebook, Apple et autres fabricants du meilleur des mondes connectés du présent ne peut être fondamentalement mauvais.
Cette grosse production place son action en 2027. Les progrès technologiques commencent à faire de l’homme augmenté une réalité. Le monde est devenu sinistre. Le pouvoir appartient aux grosses corporations. Adam Jansen, le genre gros bras ténébreux, est l’employé de l’une d’entre-elle. Lorsque l’alerte est donnée dans un des laboratoires du gratte-ciel, l’ex flic est envoyé voir ce qui en retourne. Il tombe sur de redoutables terroristes qui le laissent pour mort. A son réveil, le voilà greffé de toute part, implanté jusqu’à la moelle, bien plus fort et plus efficace que nous, simple poupées de chair et de sang. Son enquête peut vraiment commencer.
Le premier jeu du nom (2000) est devenu culte. C’était l’époque ou il fallait encore jouer sur PC-Windows pour être l’homme du prochain millénaire. Les fans sont tombés à bras raccourci sur sa suite, Deus Ex- Invisible War (2004) plutôt centré sur les consoles, qui a eu l’outrecuidance de vouloir élargir son public et de simplifier à outrance le gameplay. Conçu par le studio Eidos Montréal et édité par Square Enix, ce troisième opus est à la fois un reboot et une préquelle. Préquelle parce que l’action se situe avant le jeu séminal. Reboot parce qu’il s’agit de faire oublier sa suite honnie.
Les efforts de l’équipe canadienne n’ont pas été vains. Cet épisode est largement supérieur au deuxième opus. Essentiellement en donnant un peu mieux le sentiment que le joueur a une liberté de choix, ce qui reste à la fois une illusion et la plus grosse tarte à la crème des divertissements interactifs. Et par rapport au premier ? Joker, trop d’années séparent les deux ouvrages. Le temps fait distorsion.
Deux Ex – Human Revolution, c’est donc un jeu d’action tantôt facile ou difficile, tantôt brutal ou furtif selon les améliorations choisies pour augmenter les capacités de notre avatar. Deus Ex n’est cependant pas un beau jeu. Par beau, comprendre inspiré graphiquement. Je reste circonspect devant ces constantes nuances de jaune-orange crépusculaire qui imprègnent les graphismes. Et puis il y a un côté Blade Runner du pauvre dans ce monde cyberpunk peuplé de marionnettes encore bien trop raides pour emporter mon adhésion.
Cela dit un jeu qui tisse un lien, même ténu, entre les apprentis sorciers du futur et nos Google, Facebook, Apple et autres fabricants du meilleur des mondes connectés du présent ne peut être fondamentalement mauvais.
Ma semaine: le bal macabre d’Apple
Le départ de Steve Jobs risque bien de marquer la fin d’une époque pour Apple et pour le monde de l’informatique, à plus d’un titre. Il faut dire d’ailleurs que le bal macabre a débuté il y a déjà quelques semaines autour de Steve Jobs… Il y aurait comme un changement de style du côté de Cupertino. C’est du moins comme ça que j’ai perçu ces derniers jours, cette semaine…
Le bal des avocats a repris. Cette fois aux Pays Bas. Apple est parvenu à obtenir mercredi gain de cause sur la gestion des photos de certains appareils propulsés par Android, comme les Galaxy S, le Ace et la star le Galaxy S2 (en photo ci-contre). L’histoire semble ridicule, mais pourrait signifier la fin de la commercialisation de ces produits par Samsung en Europe dès le mois d’octobre, selon Reuters.
Une valse sinistre
C’est un nouvel épisode de ce bal macabre qui se joue depuis quelques mois entre les avocats de géants comme Microsoft, Google et Apple. Le but de cette sinistre valse: tenter de mettre les bâtons dans les routes de ses concurrents pour arriver à une situation de monopole ou pour tenter de rattraper des concurrents inatteignables... Etonnant dans un monde où l'on ne parle que de stimuler la concurrence.
Mais pourquoi macabre? Et bien parce que c’est à nouveau le consommateur qui va payer le prix fort. De différentes manières. Premièrement, il va falloir payer cette armée d’hommes de loi et ça se répercutera sur les prix. Ensuite, ces guéguerres sont de véritables freins à l’innovation. A ce rythme, si le premier concepteur de brosse à dent l’avait fait breveter, nous aurions tous le modèle d’une même marque…
La panique de la pomme?
Si l’on peut comprendre ces escarmouches juridiques, pour des questions de droits intellectuels, l’interdiction pure et simple de produits me semble simplement inadmissible en tant que consommateur. J'ai envie d'avoir à disposition une palette large de produits concurrents. En fait, j’ai terriblement l’impression qu’Apple panique, car la pomme se sent dépassée.
Et comment ne pas avoir peur? Android déferle sur les Etats-Unis et des produits comme la gamme Galaxy battent à plate-couture les iPad 2 et autres iPhone 4… Steve Jobs quitte donc une entreprise qu’il a portée au sommet, mais qui ne semble plus avoir confiance dans ses qualités d’innovation. Que va devenir Apple sans le maître? Le titre a d’ailleurs funestement valsé jeudi à la bourse, avant qu’ils ne se reprennent un peu… Le bal funeste se poursuit. Cela ne fait que commencer...
Le bal des avocats a repris. Cette fois aux Pays Bas. Apple est parvenu à obtenir mercredi gain de cause sur la gestion des photos de certains appareils propulsés par Android, comme les Galaxy S, le Ace et la star le Galaxy S2 (en photo ci-contre). L’histoire semble ridicule, mais pourrait signifier la fin de la commercialisation de ces produits par Samsung en Europe dès le mois d’octobre, selon Reuters.
Une valse sinistre
C’est un nouvel épisode de ce bal macabre qui se joue depuis quelques mois entre les avocats de géants comme Microsoft, Google et Apple. Le but de cette sinistre valse: tenter de mettre les bâtons dans les routes de ses concurrents pour arriver à une situation de monopole ou pour tenter de rattraper des concurrents inatteignables... Etonnant dans un monde où l'on ne parle que de stimuler la concurrence.
Mais pourquoi macabre? Et bien parce que c’est à nouveau le consommateur qui va payer le prix fort. De différentes manières. Premièrement, il va falloir payer cette armée d’hommes de loi et ça se répercutera sur les prix. Ensuite, ces guéguerres sont de véritables freins à l’innovation. A ce rythme, si le premier concepteur de brosse à dent l’avait fait breveter, nous aurions tous le modèle d’une même marque…
La panique de la pomme?
Si l’on peut comprendre ces escarmouches juridiques, pour des questions de droits intellectuels, l’interdiction pure et simple de produits me semble simplement inadmissible en tant que consommateur. J'ai envie d'avoir à disposition une palette large de produits concurrents. En fait, j’ai terriblement l’impression qu’Apple panique, car la pomme se sent dépassée.
Et comment ne pas avoir peur? Android déferle sur les Etats-Unis et des produits comme la gamme Galaxy battent à plate-couture les iPad 2 et autres iPhone 4… Steve Jobs quitte donc une entreprise qu’il a portée au sommet, mais qui ne semble plus avoir confiance dans ses qualités d’innovation. Que va devenir Apple sans le maître? Le titre a d’ailleurs funestement valsé jeudi à la bourse, avant qu’ils ne se reprennent un peu… Le bal funeste se poursuit. Cela ne fait que commencer...
Steve Jobs démissionne: un chant funèbre
Steve Jobs n’est pas mort. Il a eu cette nuit (heures suisses) la force et la lucidité d’annoncer, d’abord à ses employés puis au reste du monde, sa démission de son poste de PDG d’Apple. Mais il va mal. L’entrepreneur laisse clairement entendre qu’il n’est absolument plus en mesure d’assumer des fonctions opérationnelles.
«J'ai toujours dit que si jamais je venais à ne plus être en mesure d'assumer mes fonctions et obligations en tant que CEO d'Apple, je serais le premier à vous le faire savoir. Malheureusement, ce jour est arrivé.», écrit-t-il. Ces quelques mots forment l’aveu implicite de la dégradation (continue ou brutale, ça on ne le sait pas) de son état de santé. Jobs se bat contre un cancer du pancréas. Il a subi une greffe du foie. Aujourd’hui, il cède définitivement les rênes de son entreprise.
Steve Jobs n’est donc pas mort mais son chant est incontestablement funèbre.
«J'ai toujours dit que si jamais je venais à ne plus être en mesure d'assumer mes fonctions et obligations en tant que CEO d'Apple, je serais le premier à vous le faire savoir. Malheureusement, ce jour est arrivé.», écrit-t-il. Ces quelques mots forment l’aveu implicite de la dégradation (continue ou brutale, ça on ne le sait pas) de son état de santé. Jobs se bat contre un cancer du pancréas. Il a subi une greffe du foie. Aujourd’hui, il cède définitivement les rênes de son entreprise.
Steve Jobs n’est donc pas mort mais son chant est incontestablement funèbre.
Le HTC Evo 3D sous la loupe
HTC a été le deuxième constructeur mondial a annoncer et lancer sur le marché un cellulaire capable non seulement d'afficher des images en relief, mais aussi d'en produire sous forme de photos et de vidéos. Que vaut donc cet HTC Evo 3D hyperpuissant, équipé d'un écran haute-résolution et capable de donner du relief à nombre de choses?
A peine sorti de son carton, ce nouvel HTC confirme que ce constructeur poursuit sur le chemin de la qualité et se positionne sur le haut-de-gamme. L'aspect métallique et le poids du cellulaire mettent immédiatement l'utilisateur en confiance. En plus, le revêtement structuré lui donne un bel aspect et l'empêche de glisser entre les mains.
Les boutons au bas de l'écran y sont directement intégrés et rien ne dépasse au contraire de deux autres appendices sur le côté de l'appareil. L'un permet de basculer entre la 2D et la 3D. L'autre, d'une puissante taille, permet de prendre des photos, c'est le déclencheur. HTC annonce donc clairement la couleur. Cet appareil se positionne sur la photo et la vidéo.
Pour l'image
Commençons donc par là. Les deux objectifs de cinq millions de pixels produisent pour commencer des vidéos Full HD et des photos appréciables pour un cellulaire. Les multiples réglages et modes de prises de vue permettent de bien tirer parti du double flash LED et des capteurs.
Côté 3D, il faut évidemment s'habituer à prendre ce style de prises de vue. Trop près, ça ne donne rien. Et sur les paysages, l'effet n'est pas très marqué. Une question de coup à prendre, mais tout cela est tellement ludique... Si l'affichage de la 3D est moins piqué, puisque la résolution est divisée par deux, le résultat est correct.
Pas de section 3D
Et pour le reste? Dommage qu'HTC ne propose pas une section entièrement dévolue à la 3D comme LG avec son Optimus 3D. Il faut donc aller chercher des vidéos sur YouTube (par l'application) ou partir à la recherche de jeux 3D dans le Market... Dommage.
Pour le reste, on utilise un des modèles les plus rapides du marché sur la toile ou en mode GPS. Sur internet, quasiment aucune page ne résiste à cet HTC. L'appareil bénéficie de l'excellence d'Android 2.3, le système en vue du moment. La sur-couche Sense, qui agrémente d'ailleurs agréablement toute l'interface, réserve aussi des raffinements intéressants.
HTC Watch et bon bilan
Côté multimédia, s'il est dommage qu'HTC ne fournisse pas des écouteurs avec des embouts en silicone, on appréciera le nouveau service HTC Watch qui permet de consommer de la vidéo à la demande ou d'accéder à une série de bandes-annonces si l'on ne veut pas bourse délier. L'écran donne toute la mesure de son piqué.
Au final, ce beau produit plutôt énergivore se positionne clairement parmi les stars du moment. Les amateurs apprécieront la sublime interface HTC Sense qui brille toujours autant par ses raffinements et son graphisme. Tout de même vendu 799 francs.
Lire aussi: "LG Optimus 3D ou HTC Evo 3D'"
A peine sorti de son carton, ce nouvel HTC confirme que ce constructeur poursuit sur le chemin de la qualité et se positionne sur le haut-de-gamme. L'aspect métallique et le poids du cellulaire mettent immédiatement l'utilisateur en confiance. En plus, le revêtement structuré lui donne un bel aspect et l'empêche de glisser entre les mains.
Les boutons au bas de l'écran y sont directement intégrés et rien ne dépasse au contraire de deux autres appendices sur le côté de l'appareil. L'un permet de basculer entre la 2D et la 3D. L'autre, d'une puissante taille, permet de prendre des photos, c'est le déclencheur. HTC annonce donc clairement la couleur. Cet appareil se positionne sur la photo et la vidéo.
Pour l'image
Commençons donc par là. Les deux objectifs de cinq millions de pixels produisent pour commencer des vidéos Full HD et des photos appréciables pour un cellulaire. Les multiples réglages et modes de prises de vue permettent de bien tirer parti du double flash LED et des capteurs.
Côté 3D, il faut évidemment s'habituer à prendre ce style de prises de vue. Trop près, ça ne donne rien. Et sur les paysages, l'effet n'est pas très marqué. Une question de coup à prendre, mais tout cela est tellement ludique... Si l'affichage de la 3D est moins piqué, puisque la résolution est divisée par deux, le résultat est correct.
Pas de section 3D
Et pour le reste? Dommage qu'HTC ne propose pas une section entièrement dévolue à la 3D comme LG avec son Optimus 3D. Il faut donc aller chercher des vidéos sur YouTube (par l'application) ou partir à la recherche de jeux 3D dans le Market... Dommage.
Pour le reste, on utilise un des modèles les plus rapides du marché sur la toile ou en mode GPS. Sur internet, quasiment aucune page ne résiste à cet HTC. L'appareil bénéficie de l'excellence d'Android 2.3, le système en vue du moment. La sur-couche Sense, qui agrémente d'ailleurs agréablement toute l'interface, réserve aussi des raffinements intéressants.
HTC Watch et bon bilan
Côté multimédia, s'il est dommage qu'HTC ne fournisse pas des écouteurs avec des embouts en silicone, on appréciera le nouveau service HTC Watch qui permet de consommer de la vidéo à la demande ou d'accéder à une série de bandes-annonces si l'on ne veut pas bourse délier. L'écran donne toute la mesure de son piqué.
Au final, ce beau produit plutôt énergivore se positionne clairement parmi les stars du moment. Les amateurs apprécieront la sublime interface HTC Sense qui brille toujours autant par ses raffinements et son graphisme. Tout de même vendu 799 francs.
Lire aussi: "LG Optimus 3D ou HTC Evo 3D'"
Les nouveautés Logitech de la rentrée: deux indices
Pas au mieux de sa forme économique, Logitech devait encore révéler de quels nouveaux produits il allait nous chauffer cet automne et cet hiver histoire de se refaire une santé. Ces instruments de la reconquête, je suis allé les découvrir aujourd’hui au Daniel Borel Innovation Center de l’EPFL (banlieue ouest de Lausanne). Frustration, ces produits je ne peux vous en toucher un mot dans la foulée vu qu’ils sont tous sous embargo. On gros, on signe un formulaire qui stipule qu’on se fera brûler la plante des pieds au tisonnier si on avait l’outrecuidance de dévoiler un produit avant une date butoir fixé par Logitech. La première, c’est mercredi 24 août et l’autre c’est le premier septembre jour de l’ouverture du salon IFA de Berlin. Me voilà bien avancé.
Je ne résiste cependant pas de laisser un petit caillou blanc sur le chemin en révélant que l’annonce la plus spectaculaire pour Logitech à un méchant rapport avec Apple et son protocole de transmission sans fil (image et son) Airplay.
Je ne résiste pas non plus à la tentation de glisser que ce nouveau produit explique assez bien pourquoi Logitech a récemment mis en veille sa famille d’appareils Squeezebox (radio internet et diffuseur de musique stockée dans l’ordinateur). Une dépose au purgatoire pour cause de trop grande complexité d’usage et de confusion des genres.
Vous voilà bien avancé.
Je ne résiste cependant pas de laisser un petit caillou blanc sur le chemin en révélant que l’annonce la plus spectaculaire pour Logitech à un méchant rapport avec Apple et son protocole de transmission sans fil (image et son) Airplay.
Je ne résiste pas non plus à la tentation de glisser que ce nouveau produit explique assez bien pourquoi Logitech a récemment mis en veille sa famille d’appareils Squeezebox (radio internet et diffuseur de musique stockée dans l’ordinateur). Une dépose au purgatoire pour cause de trop grande complexité d’usage et de confusion des genres.
Vous voilà bien avancé.
Gesundheit! Merci, vous aussi
Gesundheit! C’est l’histoire d’un petit cochon vert au groin rose qui aimerait bien s’amuser avec ses copains. Mais comme le porcinet est enrhumé, ses « amis » se moquent fort à la vue du paquet de morve que le petit être expulse à chaque éternuement. Triste.
Pour leur salut, ils découvriront que ces excrétions attirent comme des mouches les monstres qui envahissent le pays pastel, très pratique pour les attirer vers les pièges qui ouvrent l’accès au niveau suivant.
Vous l’avez-compris, Gesundheit! est un jeu, un de ceux qu’on n’arrive pas à lâcher même quant le devoir nous commande. Il coûte un brouzouf sur l’Apple Store et se décline aussi bien en version iPhone/iPod Touch qu’iPad. Ses graphismes enfantins dessinés à la main sont mignons tout plein, l’humour caca de nez est léger comme une hirondelle, la poésie affleure, c’est un plaisir pour les yeux et les oreilles. Ajoutez une grosse louche de gameplay cuit aux petits oignons, vous obtenez le crime ludique quasi parfait.
Des touchis sur l’écran pour déplacer le cochon, une petite astuce balistique pour diriger la gelée verte là ou elle doit tomber. Des boutons poussoir. Des portes à débloquer. Des étoiles biscuit à manger. Des options tactiques à tire-larigot. Et 120 niveaux à surmonter. On ne se moque pas du bon peuple.
Gesundheit!, c’est notre jeu de la semaine et du mois. Pour l’année on verra bien.
Pour leur salut, ils découvriront que ces excrétions attirent comme des mouches les monstres qui envahissent le pays pastel, très pratique pour les attirer vers les pièges qui ouvrent l’accès au niveau suivant.
Vous l’avez-compris, Gesundheit! est un jeu, un de ceux qu’on n’arrive pas à lâcher même quant le devoir nous commande. Il coûte un brouzouf sur l’Apple Store et se décline aussi bien en version iPhone/iPod Touch qu’iPad. Ses graphismes enfantins dessinés à la main sont mignons tout plein, l’humour caca de nez est léger comme une hirondelle, la poésie affleure, c’est un plaisir pour les yeux et les oreilles. Ajoutez une grosse louche de gameplay cuit aux petits oignons, vous obtenez le crime ludique quasi parfait.
Des touchis sur l’écran pour déplacer le cochon, une petite astuce balistique pour diriger la gelée verte là ou elle doit tomber. Des boutons poussoir. Des portes à débloquer. Des étoiles biscuit à manger. Des options tactiques à tire-larigot. Et 120 niveaux à surmonter. On ne se moque pas du bon peuple.
Gesundheit!, c’est notre jeu de la semaine et du mois. Pour l’année on verra bien.
Adieu WebOS on t'aimait bien
En 2010 HP rachète Palm. Il s’approprie du WebOS un système d’exploitation idéal pour motoriser smartphones, tablettes et plus si entente.
Début 2011, HP annonce la sortie prochaine d’une tablette de la mort qui tue et d’une gamme de smartphones tout aussi mortelle. Au début de l’été la tablette HP TouchPad est lancée aux Etats-Unis puis dans quelques pays européens. Pas en Suisse.
Fin août 2011: HP annonce qu’il abandonne le WebOS sous sa marque. Ce fut rapide. Ce n’est pas étonnant mais un peu triste. Ce système d’exploitation était prometteur mais le hardware développé par HP n’était pas à la hauteur de la concurrence. Les produits se sont très mal vendus. Ce qui se positionnait comme une troisième force possible entre l’iOS d’Apple et l’OS Android de Google restera comme un des flops tonitruants de l’année. Ni fleur, ni couronne.
Début 2011, HP annonce la sortie prochaine d’une tablette de la mort qui tue et d’une gamme de smartphones tout aussi mortelle. Au début de l’été la tablette HP TouchPad est lancée aux Etats-Unis puis dans quelques pays européens. Pas en Suisse.
Fin août 2011: HP annonce qu’il abandonne le WebOS sous sa marque. Ce fut rapide. Ce n’est pas étonnant mais un peu triste. Ce système d’exploitation était prometteur mais le hardware développé par HP n’était pas à la hauteur de la concurrence. Les produits se sont très mal vendus. Ce qui se positionnait comme une troisième force possible entre l’iOS d’Apple et l’OS Android de Google restera comme un des flops tonitruants de l’année. Ni fleur, ni couronne.
Tactile et autres: la révolution ne fait que commencer
Microsoft lance ces jours en Suisse sa Touch Mouse, une souris tactile plutôt performante, comme je l'explique dans ce test publié sur xavierstuder.com. Cet accessoire apporte un réel plus dans l'utilisation de Windows 7 (et exclusivement de ce système).
Un deux ou trois doigts
Avec un deux ou trois doigts, l'utilisateur peut scroller, zoomer, redimensionner ses fenêtres ou encore faire apparaître complètement son bureau. En fait, nombre des fonctionnalités de cette souris tactile sont issues directement des téléphones portables, et surtout des produits Apple, qui propose d'ailleurs déjà, depuis un certain temps une souris similaire.
Apple toujours, vient d'ailleurs d'intégrer dans son dernier système d'exploitation Lion, une série de gestes permettant aussi de zoomer ou de faire défiler des pages rapidement depuis n'importe quel MacBook. Steve Jobs parlait en son temps de faire remonter les acquis de l'iPhone et de l'iPad dans le monde plus traditionnel de l'informatique.
Le début d'une révolution
La révolution en fait toutefois que commencer. Comme j'ai pu le constater lors de plusieurs expositions, nombre de laboratoires travaillent à des systèmes se pilotant par des gestes, par le voix ou encore par des mouvement des yeux. Et attention, tout cela n'a rien de farfelu.
En effet, n'oublions par que Microsoft vient de sortir son accessoire Kinect pour sa console de jeux XBox. Une sorte de webcam qui permet de jouer en faisant des signes à la machine. Et le géant de Redmond ne compte pas en rester là puisqu'il compte à terme intégrer cette technologie dans Windows. Le meilleurs est peut-être encore à venir...
Un deux ou trois doigts
Avec un deux ou trois doigts, l'utilisateur peut scroller, zoomer, redimensionner ses fenêtres ou encore faire apparaître complètement son bureau. En fait, nombre des fonctionnalités de cette souris tactile sont issues directement des téléphones portables, et surtout des produits Apple, qui propose d'ailleurs déjà, depuis un certain temps une souris similaire.
Apple toujours, vient d'ailleurs d'intégrer dans son dernier système d'exploitation Lion, une série de gestes permettant aussi de zoomer ou de faire défiler des pages rapidement depuis n'importe quel MacBook. Steve Jobs parlait en son temps de faire remonter les acquis de l'iPhone et de l'iPad dans le monde plus traditionnel de l'informatique.
Le début d'une révolution
La révolution en fait toutefois que commencer. Comme j'ai pu le constater lors de plusieurs expositions, nombre de laboratoires travaillent à des systèmes se pilotant par des gestes, par le voix ou encore par des mouvement des yeux. Et attention, tout cela n'a rien de farfelu.
En effet, n'oublions par que Microsoft vient de sortir son accessoire Kinect pour sa console de jeux XBox. Une sorte de webcam qui permet de jouer en faisant des signes à la machine. Et le géant de Redmond ne compte pas en rester là puisqu'il compte à terme intégrer cette technologie dans Windows. Le meilleurs est peut-être encore à venir...
Swisscom double le débit de ses accès internet sans changer de prix: il était temps
Je ne peux bien sûr que saluer cette habile adaptation mais relever que Swisscom aura pris son temps pour non pas s’aligner mais compenser partiellement le différentiel. Pour parler d’un cas particulier, le mien, le rapport vitesse prix reste encore largement défavorable à l’opérateur. Je ne vois objectivement pas pourquoi je devrai troquer mon actuel 50 000 Kbt/s à 60 francs par mois par le câble contre un accès par la ligne téléphonique fixe, actuellement à 5000 Kbt/s et qui va passer non pas à 10 000 Kbt/s mais devrait plafonner en réalité à 8000 kbts. En effet, aux dernières nouvelles, l’éloignement de mon domicile d’un relais DSL ne permet pas d’aller au-delà.
Cela dit, il y a encore six-huit mois, je n’aurai pas tenu le même discours tant mon actuel câblo opérateur se trouvait dans l’incapacité de fournir un débit décent aux heures de pointe (le soir et la nuit). Une difficulté constatée à l’échelle de la commune avec parfois des débits qui ne dépassaient pas le 10% de ce qui était attendu. Voire moins. Même dans le cadre du «best effort», notion vague destinée à rendre tolérable des fluctuations de débit sur un réseau soumis à la loi de l’offre et de la demande, on était très loin du compte.
Nul doute que Swisscom a récupéré de nombreux clients mécontents pendants ces longues semaines de dysfonctionnement aigu. Il a fallu beaucoup d’abnégation et, accessoirement un «geste commercial» du fournisseur de service arraché de haute lutte, pour que je patiente le temps que Cablecom parvienne à redonner quelques couleurs à ses débits. Ce qui est encore le cas.
Comme quoi, lorsqu’on passe des généralités à la pratique, tous les cas deviennent particuliers et cela ne facilite en rien les choix rationnels. Et dans ce contexte, le prix est un facteur parmi d'autres.
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