Le jeu de la semaine: Rayman Origin
Sélectionner le jeu dela semaine alors qu'il pourait y en avoir une grosse poignée, voir plus en cette période de sorties frénétiques de blockbusters, est un poil plus complexe que d'habitude. Alors procédons par ordre et filtrons, petit patapon.
L'heureux élu pourrait être The Legend of Zelda - Skyward Sword sur Wii qui marque non sans faste les 25 ans de la saga. Ce pourrait être aussi les nouvelles aventures de Ezio Auditore da Firenze dans Assassin's Creed - Revelations. Ne serait ce que parce que Constantinople est un formidable terrain de jeu. Ce pourrait êre aussi l'arrivée du plombier psychopathe sur Nintendo 3DS avec Super Mario 3D Land. Parce qu'il s'agit du jeu le plus abouti sur la console portable qui de la peine à succéder à la Nintendo DS. Ce pourrait être encore Halo Anniversaire, le lifting soigné du premier épisode de la franchise qui, en 2001, démontra qu'un jeu de tir en vue subjective était praticable sans clavier, ni souris mais avec un gamepad. Une production qui a plutôt bien vieilli malgré une tendance très exagérée de nous faire repasser par les même couloirs pour allonger artificiellement une durée de vie pour le coup supérieure à la moyenne.
Mais finalement, puisqu'il faut bien choisir, ce sera Rayman Origin, la nouvelle production de Michel Ancel et son équipe au sein d'Ubisoft Montpellier. Parce qu'il s'agit d'un formidable jeu de plateforme. Peut importe qu'il soit à l'ancienne, soit en 2D et défilement horizontal, car la nostalgie n'a rien à voir dans l'histoire. Rayman Origin brille tout simplement parce que le jeu, superbement animé et sonorisé, pète d'humour, de couleurs et surtout offre un gameplay aux petits oignons, d'une précision redoutable avec juste ce qu'il faut de variété. Un jeu qui se pratique seul ou, mieux encore, accompagné jusqu'à quatre (sur un même écran et donc pas en ligne, petit regret) histoire de profiter des vertus de l'entraide. Bien que le concept soit vieux comme le jeu vidéo, aucune impression de redite ou d'exploitation annuelle d'un filon ne m'a gêné. Il s'agit d'un retour aux sources rafraîchissant. Rayman Origin sera disponible dans toutes les bonnes crèmeries le jeudi 24 novembre sur Xbox, PS3 et la Wii déjà . J'ai testé la version Xbox et j'imagine sans craindre trop de me tromper que la version PS3 sera similaire. Pour la Wii et les versions de poche, il faudra vérifier.
L'heureux élu pourrait être The Legend of Zelda - Skyward Sword sur Wii qui marque non sans faste les 25 ans de la saga. Ce pourrait être aussi les nouvelles aventures de Ezio Auditore da Firenze dans Assassin's Creed - Revelations. Ne serait ce que parce que Constantinople est un formidable terrain de jeu. Ce pourrait êre aussi l'arrivée du plombier psychopathe sur Nintendo 3DS avec Super Mario 3D Land. Parce qu'il s'agit du jeu le plus abouti sur la console portable qui de la peine à succéder à la Nintendo DS. Ce pourrait être encore Halo Anniversaire, le lifting soigné du premier épisode de la franchise qui, en 2001, démontra qu'un jeu de tir en vue subjective était praticable sans clavier, ni souris mais avec un gamepad. Une production qui a plutôt bien vieilli malgré une tendance très exagérée de nous faire repasser par les même couloirs pour allonger artificiellement une durée de vie pour le coup supérieure à la moyenne.
Mais finalement, puisqu'il faut bien choisir, ce sera Rayman Origin, la nouvelle production de Michel Ancel et son équipe au sein d'Ubisoft Montpellier. Parce qu'il s'agit d'un formidable jeu de plateforme. Peut importe qu'il soit à l'ancienne, soit en 2D et défilement horizontal, car la nostalgie n'a rien à voir dans l'histoire. Rayman Origin brille tout simplement parce que le jeu, superbement animé et sonorisé, pète d'humour, de couleurs et surtout offre un gameplay aux petits oignons, d'une précision redoutable avec juste ce qu'il faut de variété. Un jeu qui se pratique seul ou, mieux encore, accompagné jusqu'à quatre (sur un même écran et donc pas en ligne, petit regret) histoire de profiter des vertus de l'entraide. Bien que le concept soit vieux comme le jeu vidéo, aucune impression de redite ou d'exploitation annuelle d'un filon ne m'a gêné. Il s'agit d'un retour aux sources rafraîchissant. Rayman Origin sera disponible dans toutes les bonnes crèmeries le jeudi 24 novembre sur Xbox, PS3 et la Wii déjà . J'ai testé la version Xbox et j'imagine sans craindre trop de me tromper que la version PS3 sera similaire. Pour la Wii et les versions de poche, il faudra vérifier.
Le jeu de la semaine: The Elder Scrolls V - Skyrim
Voilà, je suis un elfe des bois. Je suis devenu assez bon au tir à l'arc. J'ai déjà vaincu une grosse poignée de dragons et il me reste à apprendre à maîtriser un "cri", celui qui me permettra d'envoyer celui qui les gouverne tous manger les pissenlits par la racine.J'ai déjà parcouru, surtout à pied, des kilomètres par monts et par vaux. Les migous des glaces me posent des problèmes et mon infiltration dans la chambre de Madame l'ambassadrice s'est très vite transformé en combats sans pitiés avec des gardes cruels. Et pour des clopinettes en plus. Dans les cryptes et donjons, je décime trolls, araignées géante et squelettes. Je vide les coffres et je me trouve immanquablement conduit à me débarrasser de toutes ces fichues armures qui encombrent mon inventaire.
Les paysages sont vastes et beaux. Villes et villages sont plus habités que dans les précédents épisodes et les dialogues paraissent plus vivants et subtils. A noter que la traduction intégrale en français est d'excellente tenue.
Les occasions de rires dans le royaume de Skyrim ne manquent pas non plus. Surtout lorsque, en apnée dans le lit d'une rivière mon regard croise celui d'un lapin, d'un renard ou d'un chevreuil qui gambadent sous l'eau comme ils le feraient à l'air libre. Bref, j'ai joué sux Xbox 360 à Elder Scrolls V - Skyrim. C'est encore plus chronophage que redouté. C'est donc mon jeu d'une semaine par ailleurs trop chargée en sorties pour être honnête.
Les paysages sont vastes et beaux. Villes et villages sont plus habités que dans les précédents épisodes et les dialogues paraissent plus vivants et subtils. A noter que la traduction intégrale en français est d'excellente tenue.
Les occasions de rires dans le royaume de Skyrim ne manquent pas non plus. Surtout lorsque, en apnée dans le lit d'une rivière mon regard croise celui d'un lapin, d'un renard ou d'un chevreuil qui gambadent sous l'eau comme ils le feraient à l'air libre. Bref, j'ai joué sux Xbox 360 à Elder Scrolls V - Skyrim. C'est encore plus chronophage que redouté. C'est donc mon jeu d'une semaine par ailleurs trop chargée en sorties pour être honnête.
Ma semaine: sous le signe du web nouveau
Adobe a annoncé la semaine dernière arrêter le développement de Flash pour les mobiles. Flash, ce petit plugin qui égaie la toile depuis des années et qui a été providentiel à une certaine époque pour facilement intégrer de la vidéo dans les pages web. Évidemment seuls ceux qui ont contribué au développement de la toile ont conscience de ce petit détail...
Adobe estime désormais que l’avenir est au HTML5, c’est-à-dire à une nouvelle manière de coder les pages internet, pour faire simple. Il y a quelques mois, utiliser cette technologie était simplement impensable tant les navigateurs internet donnaient des résultats différents.
Entre temps, tous les grands du marché on fait d’immenses efforts ou pour être compatible avec cet internet du futur ou pour en accélérer le développement. Firefox, dont les versions se succèdent à un rythme frénétique, presque comparable à Chrome de Google, en est à la version 8. La version 9 ne saurait tarder.
Vers la fin complète de Flash
Microsoft avec la version 9 d’Explorer sort la tête de l’eau et la version dix pointe déjà le bout de son nez. Et toujours, de nombreux efforts sont faits pour que le HTML5, qui utilisé de concert avec d’autres technologies, qui permet presque de se passer de Flash, progresse.
Microsoft avec la version 9 d’Explorer sort la tête de l’eau et la version dix pointe déjà le bout de son nez. Et toujours, de nombreux efforts sont faits pour que le HTML5, qui utilisé de concert avec d’autres technologies, qui permet presque de se passer de Flash, progresse.
Et le mobile? Parce que jusqu’ici nous avons parlé d’internet conventionnel! C’est d’ailleurs probablement une immense difficulté à venir pour Adobe qui essaie de se positionner sur des marchés de niche avec Flash… Ou peut-être même avec certains produits mort-nés… Microsoft serait d’ailleurs prêt à laisser tomber Silverlight, son ersatz maison…
HTML5: encore des inconnues
Pour revenir au mobile, la plupart des navigateurs sont plus ou moins compatibles HTML5, pour ce qui de cette norme est prêt, car il reste des inconnues de taille, notamment en matière de vidéo… Restera donc une période transitoire délicate pour certains sites…
Pour revenir au mobile, la plupart des navigateurs sont plus ou moins compatibles HTML5, pour ce qui de cette norme est prêt, car il reste des inconnues de taille, notamment en matière de vidéo… Restera donc une période transitoire délicate pour certains sites…
Alors que les possesseurs de BlackBerry ou d’Android se gausseront car pouvant toujours compter sur Flash 11.1, les pommées devront continuer de composer avec des pages mutilées et estropiées, comme je l’ai encore constaté cet après-midi.. Reste que Flash disparu, certaines choses seront probablement plus simples!
Le jeu de la semaine: Call of Duty - Modern Warfare 3
Le jeu de la semaine aurait pu être Uncharted 3 - L'illusion de Drake sur PlayStation 3 dont j'ai écrit le plus grand bien dans les colonnes de la Tribune dernièrement. Mais non, il n'y a pas a tortiller, impossible de faire l'impasse, si ce n'est pour de mauvaises raisons, sur Call of Duty - Modern Warfare 3.
Une anecdote croustillante pour commencer. M'étant rendu hier dans une boutique pour procéder à l'achat de la version console du blockbuster d'Activision (qui est aussi un jeu de guerre des plus spectaculaires), je le présente à la caisse. Le jeune vendeur me regarde et me dit aimablement "Enlevez moi d'un doute, vous ne l'achetez pas pour vous même?" Je souris et je réponds en substance "Je veux mon neveux et compte bien contribuer à augmenter la moyenne d'âge".
La remarque du vendeur est légitime et signifiante à bien des titres. Elle pourrait d'abord dire "vous êtes trop vieux pour jouer à ça". Ce n'est pas faux. On est toujours trop vieux pour s'adonner à ce genre de vice et, quadragénaire bien avancé, mon ticket d'entrée n'est en théorie largement plus valable. Mais cette question est encore plus révélatrice d'autres choses. Dans la famille des franchises ciblant une tranche d'âges étroite, Call of Duty est sans doute la plus cul serrée de toutes. Voilà un jeu conçu par et pour des gamers de sexe masculin entre 16 (18 si on se réfère à la norme indicative PEGI) et 29 ans max. Voici donc un jeu particulièrement excluant. Les filles surtout. Enfin celles qui ne rêvent pas de porter l'uniforme et de se faire injurier pour aller au casse-pipe. Les adultes "responsables" ensuite qui ne manquent pas de relever les ambiguïtés d'un divertissement moderne qui ne peut s'abriter derrière ce qui est devenu le folklore de la seconde guerre mondiale pour faire passer la pilule du défoulement guerrier. Cela n'empêche pas le jeu de se vendre à la pelle au point de faire des envieux qui vont à copier le mode solo jusque dans ses aberrations, si, si, c'est bien du côté de Battlefield 3 que je lorgne. Beauté du paradoxe, joie du partage.
Mais pour revenir à mes moutons, ce Call of Duty là est bien parti pour tenir toutes ses promesses et notamment celle de son mode scénarisé qui en rajoute encore, comme si cela pouvait encore être possible, le côté monumental de la destruction et du chaos. Au point de déconnecter le jeu de toute réalité. Là voilà ma nécessaire distanciation. On peut donc se vautrer dans la poésie du cataclysme sans aucune arrière pensée moralisante tout en sachant avec certitude que le mode solo sera torché en deux coups de cuillère à pot. Modern Warfare 3 est donc bien le jeu de la semaine même si on peut lui préférer pour une brouette d'excellentes raisons Uncharted 3, celui de la semaine dernière.
Pour le mode multi, je réserve mes sentiments faute d'y avoir encore plongé le petit doigt du pied. Mais je ne me fais pas trop de soucis.
Une anecdote croustillante pour commencer. M'étant rendu hier dans une boutique pour procéder à l'achat de la version console du blockbuster d'Activision (qui est aussi un jeu de guerre des plus spectaculaires), je le présente à la caisse. Le jeune vendeur me regarde et me dit aimablement "Enlevez moi d'un doute, vous ne l'achetez pas pour vous même?" Je souris et je réponds en substance "Je veux mon neveux et compte bien contribuer à augmenter la moyenne d'âge".
La remarque du vendeur est légitime et signifiante à bien des titres. Elle pourrait d'abord dire "vous êtes trop vieux pour jouer à ça". Ce n'est pas faux. On est toujours trop vieux pour s'adonner à ce genre de vice et, quadragénaire bien avancé, mon ticket d'entrée n'est en théorie largement plus valable. Mais cette question est encore plus révélatrice d'autres choses. Dans la famille des franchises ciblant une tranche d'âges étroite, Call of Duty est sans doute la plus cul serrée de toutes. Voilà un jeu conçu par et pour des gamers de sexe masculin entre 16 (18 si on se réfère à la norme indicative PEGI) et 29 ans max. Voici donc un jeu particulièrement excluant. Les filles surtout. Enfin celles qui ne rêvent pas de porter l'uniforme et de se faire injurier pour aller au casse-pipe. Les adultes "responsables" ensuite qui ne manquent pas de relever les ambiguïtés d'un divertissement moderne qui ne peut s'abriter derrière ce qui est devenu le folklore de la seconde guerre mondiale pour faire passer la pilule du défoulement guerrier. Cela n'empêche pas le jeu de se vendre à la pelle au point de faire des envieux qui vont à copier le mode solo jusque dans ses aberrations, si, si, c'est bien du côté de Battlefield 3 que je lorgne. Beauté du paradoxe, joie du partage.
Mais pour revenir à mes moutons, ce Call of Duty là est bien parti pour tenir toutes ses promesses et notamment celle de son mode scénarisé qui en rajoute encore, comme si cela pouvait encore être possible, le côté monumental de la destruction et du chaos. Au point de déconnecter le jeu de toute réalité. Là voilà ma nécessaire distanciation. On peut donc se vautrer dans la poésie du cataclysme sans aucune arrière pensée moralisante tout en sachant avec certitude que le mode solo sera torché en deux coups de cuillère à pot. Modern Warfare 3 est donc bien le jeu de la semaine même si on peut lui préférer pour une brouette d'excellentes raisons Uncharted 3, celui de la semaine dernière.
Pour le mode multi, je réserve mes sentiments faute d'y avoir encore plongé le petit doigt du pied. Mais je ne me fais pas trop de soucis.
Le coup de griffe : le concept bâclé du Blu-ray
J’ai voulu visionner cette semaine le Blu-ray d’Elisabeth. Après un démarrage toujours aussi lent sur mon lecteur Panasonic BD 30, je choisis la bonne langue et lance le film. Je retrouve alors une sorte de générique qui tourne en boucle…
Mise à jour...
Je retire le Blu-ray, puis redémarre l’appareil avant de recommencer l’opération… Résultats identique. Je me dis alors que je vais rapporter le disque qui présente probablement un défaut. Je réalise alors que je n’ai pas remis à jour mon appareil depuis un certain temps.
Je retire le Blu-ray, puis redémarre l’appareil avant de recommencer l’opération… Résultats identique. Je me dis alors que je vais rapporter le disque qui présente probablement un défaut. Je réalise alors que je n’ai pas remis à jour mon appareil depuis un certain temps.
S’agissant de la deuxième génération de lecteur Blu-ray, il ne se met pas à jour directement par internet. Je me rends alors sur le site du constructeur et télécharge la dernière version du firmware. Après trois tentatives, je parviens à graver un CD compatible ISO…
Près de dix normes
Au terme d’un quart d’heure, mon lecteur est à jour et je parviens enfin à lancer Elisabeth. Compte tenus des difficultés inhérentes à l'opération, je pense que la plupart des cinéphiles auraient renoncé! Mon constat est sans appel: le cahier des charge du Blu-ray a été bâclé!
Au terme d’un quart d’heure, mon lecteur est à jour et je parviens enfin à lancer Elisabeth. Compte tenus des difficultés inhérentes à l'opération, je pense que la plupart des cinéphiles auraient renoncé! Mon constat est sans appel: le cahier des charge du Blu-ray a été bâclé!
La preuve ? Elle est sur Wikipedia! Après avoir évité les lecteurs en profil 1.0, j’ai acheté un de la série 2.0. On en est aujourd’hui à la version 5.0 pour les disques 3D… Heureusement, entre temps, la plupart des appareils, à l’image de la PlayStation, se connectent à la toile…
Cinémas tous écrans: de l'interactif dans le potage
Cinema Tous Ecrans, c'est parti. Ce festival international du film qui se déroule à Genève en est à sa 17e édition et ça commence le vendredi 4 novembre (ce soir donc, à l'heure où j'écris ces lignes) pour fermer ses portes le 10 novembre. Il s'agit aussi de la deuxième édition sous la direction de Claudia Durgnat mais aussi la première pour laquelle cette directrice n'a pas à assumer l'héritage et les orientations des précédentes années. Voilà pour la météo opérationnelle.
Pour ma part, je consulte le programme avec les yeux tout particulièrement dirigés sur les sections consacrées aux séries télé, aux nouveaux écrans (ordinateur, smartphones, tablettes...) et aux fictions multimédia interactives. Force est de constater qu'il y a du lourd cette année. Rien que pour les séries, il sera possible de visionner des épisodes de The Shadow Line (excellent polar britannique), de Borgia (diffusée actuellement sur Canal+), et aussi de découvrir hors compétition mais en avant première Mildred Pierce et la saison deux de Braquo, série policière française qui se plait à observer de pauvres mouches humaines se débattre dans la mélasse. Pour en rester à Braquo, car c'est là ou je voulais en venir, la fiction sera accompagné d'un intrigant développement interactif, dont j'espère bien que quelques plans seront révélés lundi 7 novembre prochain à l'Uptown - Geneva lors de la journée consacrée aux nouveaux écrans. Il s'agit d'un jeu ARG, confie sans rire Gaetano Stucchi, le responsable de ce colloque.
Alors ARG, voyons. Il s'agit d'un "Alternate Reality Game", autrement dit d'un jeu en réalité alternée nous chuchote Wikipedia qui précise "... qui de manière délibérée entretient le flou entre les expériences perçues lors du jeu et hors du jeu". Donc je lance sur mon PC Braquo - Le jeu et, paf!, le téléphone sonne comme dans The Game de David Fincher car c'est le jeu qui continue dans la vraie vie. Ceci est une supposition, rien ne dit que l'ARG de Braquo sera de cet acabit.
Fort du constat que jusqu'ici les expériences ARG ne sont jamais vraiment sorties du leurs niches (ou du flop commercial, à l'instar de Majestic lancé en 2001 par Electronic Arts), c'est avec une immense curiosité que j'assisterai, lundi, à la présentation de cette "synchronisation" entre une série télé qui, à priori n'a rien de ludique, et un jeu vidéo pensé pour échapper à son écran.
Pour ma part, je consulte le programme avec les yeux tout particulièrement dirigés sur les sections consacrées aux séries télé, aux nouveaux écrans (ordinateur, smartphones, tablettes...) et aux fictions multimédia interactives. Force est de constater qu'il y a du lourd cette année. Rien que pour les séries, il sera possible de visionner des épisodes de The Shadow Line (excellent polar britannique), de Borgia (diffusée actuellement sur Canal+), et aussi de découvrir hors compétition mais en avant première Mildred Pierce et la saison deux de Braquo, série policière française qui se plait à observer de pauvres mouches humaines se débattre dans la mélasse. Pour en rester à Braquo, car c'est là ou je voulais en venir, la fiction sera accompagné d'un intrigant développement interactif, dont j'espère bien que quelques plans seront révélés lundi 7 novembre prochain à l'Uptown - Geneva lors de la journée consacrée aux nouveaux écrans. Il s'agit d'un jeu ARG, confie sans rire Gaetano Stucchi, le responsable de ce colloque.
Alors ARG, voyons. Il s'agit d'un "Alternate Reality Game", autrement dit d'un jeu en réalité alternée nous chuchote Wikipedia qui précise "... qui de manière délibérée entretient le flou entre les expériences perçues lors du jeu et hors du jeu". Donc je lance sur mon PC Braquo - Le jeu et, paf!, le téléphone sonne comme dans The Game de David Fincher car c'est le jeu qui continue dans la vraie vie. Ceci est une supposition, rien ne dit que l'ARG de Braquo sera de cet acabit.
Fort du constat que jusqu'ici les expériences ARG ne sont jamais vraiment sorties du leurs niches (ou du flop commercial, à l'instar de Majestic lancé en 2001 par Electronic Arts), c'est avec une immense curiosité que j'assisterai, lundi, à la présentation de cette "synchronisation" entre une série télé qui, à priori n'a rien de ludique, et un jeu vidéo pensé pour échapper à son écran.
Le bel appareil photo du HTC Titan. Test, partie II
Le HTC Titan brille par sa fiche technique, comme nous l'avons vu pendant la première partie du test. Il possède un appareil photo de 8 millions de pixels équipé d’un double Flash. Cela lui permet de rivaliser avec le Samsung Galaxy SII, par exemple. Peut-être d’ailleurs que la qualité des couleurs est un peu plus naturelle.
Le double flash de ce Windows Phone permet également de prendre facilement des clichés dans des conditions délicates. Dommage toutefois qu’en touchant l’écran tactile ça déclenche immédiatement la prise de vue. Dommage aussi que le nombre de réglages est nettement plus réduit que sur un Sony Ericsson (les références actuelles en matière de photo) ou un Samsung.
Côté vidéo, il est possible de tourner des séquences en 720p alors que nombre de modèles font du 1080p, mais c'est un détail sans importance. Là aussi, les couleurs sont naturelles. Le double flash led peut être utilisé comme une torche en cas de besoin. Pratique. Le résultat est fluide et probablement un cran au-dessus de ce que produit le Samsung Galaxy S II.
Côté multimédia, j’ai sans peine réussi à faire passer ma musique, mes vidéos et mes photos d’un ordinateur au Titan grâce à la solution Zune. Dommage toutefois que ce logiciel ne permette pas la synchronisation avec Outlook, un produit pourtant estampillé Microsoft… Les entreprises doivent passer par Sharepoint.
25 Go dans le nuage
Concrètement, j’ai récupéré mes contacts du nuage (d'un précédent test) puisque le Titan se synchronise avec les 25Go gratuits de SkyDrive, la solution maison de Microsoft en phase de rodage depuis des années… Concrètement, on peut donc éditer ces documents Office sur le téléphone. Intéressant.
Microsoft a évidemment soigné l’intégration d’Xbox LIVE sa solution de jeux qui plaira indubitablement aux joueurs. Il faut toutefois préciser que globalement le catalogue d’applications disponibles sur le Marketplace, surtout pour la Suisse, reste maigrichon et ne rivalise ni avec iOS, ni avec Android.
Localisation parfois difficile
En matière de localisation, Microsoft propose sa solution qui a peiné à trouver ma position en intérieur alors qu’avec le wi-fi n’importe quel smartphone y parvient sans peine. Heureusement, la solution de HTC « localisations » semble fonctionner un peu mieux et propose un mode Footprint déjà disponible sur Android. Par ailleurs, pas de solution de GPS gratuit comme sur Android.
Côté musique, il faut déplorer l’absence de tuner FM. Il faut donc se replier sur une solution de web radio qui peine parfois à se lancer et tributaire du réseau. Les écouteurs fournis, sans embouts en caoutchoucs sont justes corrects vu le niveau de l’appareil. C’est un point faible de la marque qui devrait cependant faire mieux avec le Sensation XE que nous testeront prochainement!
Son médiocre pendant les appels
Enfin, la partie téléphonie est en retrait par rapport à la concurrence. J’ai parfois eu de la peine à rester sur le réseau GSM. Le son est moyen et manque un peu de chaleur pendant les appels. Des défaut qui sont toujours un peu ennuyeux car probablement pas récupérables.
Au final, ce bel appareil donne globalement d'assez bons résultats et son autonomie est plutôt supérieure à la moyenne avec une bonne journée, voire un peu plus, d’utilisation active. Dommage que Windows Phone , toujours très prometteur, n’ai pas plus évolué ces derniers mois. Ce produit est donc handicapé par de nombreux manques de tailles, parfois similaires aux lacunes de l’iPhone.
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